Opportunités de financement

ACCOBAMS a le plaisir de vous informer sur 2 possibilités de financement.

Une de la Fondation MAVA et une de l’UICN.

1.  MAVA: https://mava-foundation.org/news-call-for-proposals-keeping-nature-at-the-heart-of-post-covid-recovery/

2.  UICN: https://www.nationalgeographic.org/funding-opportunities/grants/what-we-fund/species-recovery/

 

 

1.  MAVA: https://mava-foundation.org/news-call-for-proposals-keeping-nature-at-the-heart-of-post-covid-recovery/

La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 23 octobre 2020.

MAVA est à la recherche d’idées novatrices pour mieux promouvoir la nature dans le monde (post-)-COVID-19 qui est en train de se façonner. Alors que les systèmes économiques et financiers sont relancés, le Fondation MAVA recherche des idées d’actions dans un large éventail de domaines et de secteurs qui peuvent se traduire par des impacts tangibles pour la conservation de la nature et de la biodiversité.

Cet appel à propositions est destiné aux acteurs publics ou privés qui répondent aux critères. Les propositions doivent mettre l’accent sur la conservation de la diversité biologique et l’utilisation durable de ses composantes. La portée géographique des propositions peut être globale ou cibler plus spécifiquement une ou plusieurs des régions MAVA, à savoir : la Méditerranée, l’Afrique occidentale côtière, la Suisse et les pays de l’UE.

Avec cet appel à propositions, la Fondation MAVA fournira un financement aux candidats retenus, pour :

Soutenir / influencer la formulation de plans de rétablissement ou d’autres initiatives pour :

  • Augmenter les dépenses de réhabilitation pour la conservation de la nature (réhabilitation immédiate) ;
  • S’assurer que la nature et la durabilité environnementale sont solidement ancrées dans la reconstruction économique et les dépenses futures associées (au-delà de la réhabilitation) ;
  • Utiliser les dépenses actuelles de relance pour la réforme structurelle des systèmes économiques ou financiers pour plus de nature ;
  • Veiller à ce que les conditions liées à l’obtention d’un financement au titre des plans de relance soient remplies et incluent la nature.

Promouvoir / négocier des échanges dette-nature dans les régions MAVA.

Autres idées pour rendre plus écologique la dynamique de relance post-COVID en accord avec la mission et la vision de la MAVA.

 

Les subventions devraient s’élever à 400 000-500 000 CHF (370 000-460 000 EUR) et les activités doivent être mises en œuvre et mesurables d’ici juillet 2022.

 

  2.  IUCN: https://www.nationalgeographic.org/funding-opportunities/grants/what-we-fund/species-recovery/

La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 21 octobre 2020.

« En partenariat avec la CSE de l’UICN et la Fondation Segré, l’objectif de cette demande de financement est d’enrayer la poursuite du déclin de la biodiversité en mettant en œuvre des plans de conservation des espèces et des groupes d’espèces. Nous soutiendrons les priorités des plans de conservation des espèces de la CSE de l’UICN ainsi que les actions de conservation qui sont approuvées par le groupe de spécialistes des espèces de la CSE de l’UICN concerné. Actuellement, nous ne soutenons pas les évaluations de la biodiversité ni les activités de planification de la conservation ».

 

Les propositions doivent être inférieures à 30 000 dollars ; « toutefois, les demandeurs peuvent demander jusqu’à 50 000 dollars ». Les fonds octroyés peuvent être utilisés sur 1 ou 2 ans.

 

« Les propositions qui portent sur les thèmes suivants sont encouragées :

Des actions prioritaires spécifiques et défendables pour éviter le déclin d’une espèce ou d’un groupe d’espèces ; des projets qui incluent la participation active de conservationnistes en début de carrière ; des projets qui soutiennent les responsables de la conservation des pays où l’espèce ou le groupe d’espèces est présent.

La préférence sera accordée aux propositions qui comprennent des plans réalisables pour démontrer le changement d’indicateurs clés quantifiables, par exemple, la réduction des facteurs de déclin des populations (par exemple, la chasse, la pêche ou l’exploitation forestière non durables) ou l’augmentation du nombre, du degré de protection ou de la connectivité des populations de l’espèce ou du groupe d’espèces cible ».